Gabon
Jean Ping poursuit sa campagne de la contestation de la réélection d’Ali Bongo à la présidentielle du 27 août dernier au Gabon.
Celui qui se proclame ‘‘président élu du Gabon’‘ ne manque d’ailleurs pas d’initiative en la matière. Lundi, il a lancé 5 jours de mobilisation pour l’alternance.
C‘était à l’ouverture de son ‘‘dialogue national pour l’alternance’‘. Syndicats, organisations religieuses, associations et autres ONG ont pris part à cette rencontre qui se tient avant celle annoncée par le pouvoir.
L’opposant est notamment revenu au cours de la cérémonie sur le dossier qu’il a déposé jeudi devant la cour pénale internationale en rapport avec les violences survenues au Gabon après la proclamation de la victoire d’Ali Bongo.
Confiant, Jean Ping a déclaré à propos des responsables présumés de ces violences, devant un public acquis à cause. ‘‘Les premiers éléments d’enquête déjà déposés engagent véritablement aussi les commandants des unités de la Garde républicaine, de la gendarmerie et de la police, y compris les éléments composant les milices recrutées pour la basse besogne’‘. Il a par la suite révélé que : “ les professionnels de la justice internationale s’occupent d’ores et déjà de leurs cas’‘.
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