Inde
La capitale de l’Inde, New Delhi, n’a rien à envier à son homologue chinoise, Pékin, pour ce qui concerne la pollution.
Au point que l’administration locale a dû prendre dimanche des mesures d’urgence. Comme la f*ermeture des écoles pendant trois jours, l’arrêt des chantiers de construction et de démolition pendant cinq jours, la fermeture d’une centrale thermique au charbon pendant dix jours.* Et les routes seront à partir de lundi aspergées d’eau pour empêcher les poussières de voler.
“Cela fait trente ans que j’habite à Delhi et je n’ai jamais ressenti une chose pareille. Quand vous êtes au niveau zéro, ça va mieux. Mais dès que vous montez au troisième ou au quatrième étage, vous devez faire marche arrière.”
“Nous souffrons tous et nos enfants en particulier, poursuite une femme. Ils ne peuvent plus sortir, grimper aux arbres. On a construit de grands espaces verts dans les écoles pour qu’ils puissent jouer, mais on ne peut pas les laisser dehors. Il y a des jours rouges où l’on doit garder les enfants à l’intérieur, enfermés, les emprisonner en quelque sorte, et leur faire porter des masques.”
New Delhi, désignée en 2014 “ville la plus polluée du monde” par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ce sont quelque 10 millions de véhicules qui circulent chaque jour.
Les tirs de feux d’artifice à l’occasion de la grande fête hindoue de Diwali, dite fête des lumières, aggravent la situation actuelle. De même que les feux allumés dans les campagnes environnantes pour se réchauffer ou cuire de la nourriture
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