Kenya
Ces collégiennes fréquentent un établissement mis sur pied par le Haut commissariat des Nations unies aux réfugiés qui fonctionne grâce au soutien des donateurs.
Esther, oridinaire du Soudan du Sud a repris les classes comme des dizaines de ses camarades. Pour elle, l‘école représente le chemin de l’espoir. « Je suis venue il y a quelques mois pour apprendre à parler le kiswahili et l’anglais. J’ai commencé à passer mes examens ».
L’accent dans ce collège est mis sur la formation des jeunes filles qui ont trouvé refuge dans le camp de Kakuma après avoir fui la guerre dans leur pays. « J’aimerais être une neurochirurgienne parce que je voudrais inspirer les gens notamment les dames, confie encore Esther. Pourqu’elles se disent : si Esther l’a fait, qui suis-je pour ne pas le faire ? Elle est une dame comme moi. Je veux inspirer les autres. Je voudrais laisser un héritage ».
Les Organisations non-gouvernementales actives dans le camp de Kakuma font le pari de l‘éducation de la jeune fille. L’objectif est de réussir à assurer, par les livres, un meilleur avenir à ces enfants déplacés.
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