République démocratique du Congo
Sur son compte Twitter, le député national, par ailleurs, président de l’Engagement pour la Citoyenneté et le Développement a posté ses photos, couché sur un lit d’hôpital.
Le visage tuméfié, l’opposant congolais affirme avoir été agressé par un membre de la police qui lui a ‘‘lancé un projectile’‘. Sur l’une de ses photos publiées sur son compte officiel, l’homme politique congolais a un œil totalement enflé et fermé. La partie droite de sa joue gonflée.
Congolais, avec Dieu nous ferons des exploits. Ne lâchez pas prise. Ils ont voulu m'éliminer mais mon Dieu est fort. pic.twitter.com/EyEVYhCUUU
— Martin Fayulu (@MartinFayulu) 20 septembre 2016
Martin Fayulu s’est cependant voulu reconnaissant vis-à-vis de toutes ses partisans et personnes anonymes qui lui ont adressé des messages de soutien.
Dans un article de Jeune Afrique publié le 19 septembre 2016, à la veille de la manifestation qui a dégénéré, 17 morts (gouvernement) et 50 morts, selon l’opposition, M. Martin Fayulu a affirmé que « (…) M. Kabila, est le problème. Il suffit de regarder ce qui se passe à Beni ».
Les kinois #RDC ont développé le mécanisme pour faire face aux gaz lacrymogènes. Ça prouve une certaine détermination.
— AfricaTopTweets (AfricaTopTweet) 20 septembre 2016moise_katumbi
pic.twitter.com/wTE6dNle97
A la question de l’hebdomadaire de savoir ce qu’il préconise pour sortir son pays de cette crise. Il est sans détour : « Le 19 décembre à 23 heures 59 au plus tard, Kabila doit quitter le Palais de la nation ».
Les violences continuent dans la capitale Kinshasa, mardi les sièges de deux partis de l’opposition ont été incendiés faisant deux morts. Ils ont été carbonisés selon un journaliste de l’AFP.
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