Libye
L’accord signé entre le gouvernement libyen d’union nationale et les gardiens des puits pétroliers ne tiendraient qu‘à un fil. La compagnie nationale pétrolière a exprimé ses craintes de le voir voler en éclats.
Le problème résulterait du fait qu’il n’y ait pas eu d’entente écrite, a laissé entendre le directeur de la compagnie. Dans une interview avec Reuters, Mustafa Sanalla a appuyé ses craintes sur la rupture par le passé d’accords avec ces mêmes gardiens, en dépit du versements de plusieurs millions.
C’est en juillet dernier que le gouvernement libyen d’union nationale a annoncé l’ouverture de pourparlers avec une brigade armée qui contrôle Ras Lanouf et Es Sider, les deux principaux ports pétroliers du pays avec une capacité d’exportation de 600 000 barils/jour.
Dimanche, la compagnie nationale pétrolière saluait pourtant l’accord et annonçait le démarrage prochain des travaux pour reprendre les exportations.
Selon Mustafa Sanalla, la production libyenne actuelle a été réduite à environ 200.000 barils/jour, loin du million 600 mille barils de 2011.
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