Gabon
Le président gabonais Ali Bongo a mis en garde contre d‘éventuels troubles lors de la présidentielle de ce mois d’oût.
Selon lui, cela constitue ce qu’il appelle « la stratégie vieille depuis de nombreuses années » de l’opposition qui, faut-il le rappeler, s’insurge contre son admissibilité à briguer un second mandat de sept ans à la tête du Gabon, petit pays d’Afrique centrale riche en pétrole.
Toujours selon Ali Bongo, l’opposition a commencé sa stratégie en annonçant que l‘élection ne sera pas transparente. La Cour constitutionnelle a rejeté la semaine dernière les recours émis par trois adversaires d’Ali Bongo, recours contre la candidature du président sortant.
L’opposition maintient la pression, affirmant qu’Ali Bongo n’est pas autorisé à participer à la future présidentielle, précisant qu’il a été adopté dans les années 1960 par son père, l’ancien président Omar Bongo Ondimba.
Les observateurs électoraux de l’UE (Union européenne) ont appelé jeudi les acteurs de la politique gabonaise à tout faire pour éviter toute forme de violence et de tension avant les élections présidentielles.
La présidentielle à un tour se tiendra le 27 août prochain au Gabon, selon la Commission électorale nationale autonome et indépendante.
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