Brésil
La Russie, le Kenya et le Mexique sont dans le collimateur du Comité intercantonal olympique. Les athlètes de ces trois pays, candidats aux Jeux olympiques de Rio, feront l’objet de tests antidopage.
Il s’ agit pour le CIO de recaler les éventuels tricheurs et de les empêcher d’atteindre le niveau des phases finales des Jeux d’août prochain. Le CIO est particulièrement sur les dents, compte tenu des antécédents qui l’ont opposé aux trois pays cités.L’instance de l’athlétisme mondial a même mentionné avoir doublé son budget alloué aux tests antidopage, qui est passé du coup de 500.000 à 1000.000 de dollars.
Mark Adams, porte-parole du président du CIO : “la lutte contre le dopage est une priorité pour le CIO, qui a mis en place une politique de tolérance zéro. Aujourd’hui, nous prenons des mesures plus décisives pour protéger les athlètes aux JO de Rio. Le CIO n’hésitera pas à punir quiconque sera responsable de l’utilisation ou de la fourniture de produits ou de méthodes de dopage, y compris les officiels, entraîneurs et autres membres de l’entourage des athlètes.”
Le recalage des athlètes contrôlés positif est pris très au sérieux par le CIO, à en croire le porte-parole du président du Comité. La réattribution des médailles en cas de control positif a aussi été évoquée.
“Nous vous assurons que tous les athlètes au résultat positif seront retirés de la compétition de Rio. C’est pour nous la priorité numéro un. Si nous y parvenons, la réattribution des médailles suivra évidemment”, a tenu à ajouter Mark Adams.
Le Kenya et le Mexique sont en conformité avec l’Agence mondiale antidopage, qui se prononcera sur le cas de la Russie, le 17 juin prochain.
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